Les conclusions de cette revue indiquent que la prématurité, le jeune âge, les troubles comorbides et les inégalités structurelles sont les plus importants facteurs de risque associés à des conséquences graves chez les enfants de cinq ans et moins.

Les données probantes indiquent que les enfants souffrant de troubles comorbides peuvent être plus susceptibles de subir des conséquences graves de la COVID-19.

La vaccination des personnes ayant déjà eu une infection à la COVID-19 est peut-être légèrement plus efficace que celle des personnes n’ayant pas déjà été infectées, mais le nombre d’infections postvaccinales était faible dans les deux groupes.

Globalement, des fragments viraux peuvent être détectés sur des surfaces, mais ces fragments ne sont peut-être pas viables pour la transmission.

La plupart des synthèses et des études ne trouvent aucunes données probantes démontrant une réelle réinfection à la COVID-19.

Le calcul précis de la période d’incubation était plus facile à réaliser au début de la pandémie, lorsque les cas étaient limités et qu’une durée d’exposition précise était connue. La transmission communautaire étant très répandue, il est difficile d’identifier avec précision la durée d’exposition.