Evidence suggests that those who report physical distancing from others have a lower risk of COVID transmission and influenza-like illness. However, distancing policies in school settings may not reduce the risk of transmission.

Gathering restrictions, stay-at-home orders, and initial school closures may have been particularly effective to reduce transmission of COVID-19, particularly during the first wave.

Les données probantes montrent que la transmission dans les écoles et les garderies est faible lorsque des mesures rigoureuses de PCI sont en place. Il existe peu de données au sujet de l’effet de la vaccination du personnel ou des élèves sur l’atténuation du risque de transmission dans les écoles et les garderies.

Des stratégies comme des tests rapides et fréquents et l’isolement peuvent permettre d’atténuer le risque de transmission de la COVID-19 dans les établissements postsecondaires.

La plupart des recommandations des lignes directrices et des documents d’orientation comprennent une surveillance complète; le suivi et l’évaluation des symptômes du personnel, des résidents et des visiteurs; la restriction des mouvements à l’intérieur des établissements de SLD et entre ceux-ci; la distanciation physique; une ventilation adéquate; ainsi que l’offre et l’utilisation adéquates des équipements de protection individuelle (EPI) afin de réduire la transmission parmi les résidents et les membres du personnel des établissements de SLD.

Les revues dont on dispose indiquent que le risque de transmission par le chant et les instruments pourrait être atténué par l’application des mesures de santé publique standard.

La majorité des études trouvées incluent des données recueillies au cours des premières phases de la pandémie de COVID-19, alors que le manque d’accès aux PPE appropriés était relevé dans certaines juridictions.

Les facteurs qui augmentent le risque de transmission sont notamment une ventilation réduite ou mauvaise, l’absence de distanciation physique, la durée de l’exposition et la charge virale de la source infectée.

Il existe très peu de données probantes relatives aux pratiques efficaces de lutte contre les infections propres aux établissements psychiatriques pour malades hospitalisés et il n’existe pas de lignes directrices fondées sur les résultats des recherches.

Une recherche documentaire exhaustive n’a pas relevé de données probantes sur l’efficacité ou la rentabilité des EPI traités au cuivre dans les hôpitaux ou les lieux publics pour réduire la transmission de virus.

Aucune donnée probante n’a été trouvée concernant l’efficacité de la mise en cohorte de résidents séropositifs pour le virus COVID-19 dans des chambres partagées au sein des établissements de soins de longue durée.